Dans le cadre des dernières annonces gouvernementales concernant le budget prévisionnel des universités pour 2025, l’AGEM dénonce les coupes budgétaires imposées par l’État à l’Université de Montpellier (UM) et à l’Université Paul Valéry (UPV). Ces réductions mettent en péril les conditions d’études, de recherche et d’innovation, affectant directement les plus de 80 000 étudiant-es montpelliérain-es.
Points clés du communiqué :
- Un déficit de 17 millions d’euros annoncé pour 2025 à l’Université de Montpellier.
- Une situation aggravant la précarité étudiante et les inégalités.
- Des conséquences graves sur les services essentiels, la qualité des infrastructures et les capacités d’apprentissages.
Nos demandes :
- Augmenter le financement des universités et compenser les charges imposées.
- Prendre des mesures concrètes pour lutter contre la précarité étudiante.
- Reconnaître l’importance des universités dans la formation et la recherche pour l’avenir écologique, économique et social.

