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Le GHB, nouveau fléau des soirées montpelliéraines

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Depuis le début de la rentrée universitaire et la reprise des soirées étudiantes, les associations étudiantes nous ont fait parvenir de nombreux témoignages d’étudiants et étudiantes ayant été drogués au GHB.

Le problème est de plus en plus prégnant à Montpellier avec un fait nouveau, la « drogue du violeur » touche désormais souvent des hommes, contrairement aux idées reçues jusqu’alors. Outre les viols et agressions physiques et sexuelles, certains agresseurs s’amuseraient à observer les effets créés sur d’autres par le GHB.

Nous appelons les étudiants et les jeunes à la plus grande vigilance lors de leurs sorties dans les bars et boîtes de nuit. Les gestes à adopter :

  • garder son verre avec soi ;
  • recouvrir son verre de sa main ;
  • s’entourer de personnes de confiance lorsque l’on sort et les alerter en cas de malaise ;
  • veiller sur son entourage en soirée ;
  • alerter l’établissement, et le cas échéant l’association organisatrice en cas de problème.

En cas de doute, il est possible d’effectuer un test urinaire dans les 12h pour savoir si l’on a été drogué.

L’AGEM et son réseau se mobilisent pour répondre à cette problématique et envisagent l’achat de « capotes de verre » distribuées aux étudiants et étudiantes.